Avec l’objectif de 50% de produits de qualité et de 20% de bio, la loi Agriculture et Alimentation doit servir de déclic aux collectivités pour réformer leurs politiques alimentaires. Pas de panique, l’expérience montre que manger bio, local et sain, c’est non seulement bon pour le climat, la santé et le plaisir des convives et pour tous les acteurs du champ à l’assiette. Mais en plus, ça ne coûte pas plus cher !
Une tribune joyeuse et goûteuse publiée chez Alimentation générale par :
– Christophe Hébert, président d’Agores (premier réseau des directeurs de restauration collective territoriale)
– Gilles Pérole, président d’Un Plus Bio (premier réseau national des cantines bio)
– Thierry Stoedzel, directeur général d’Ecocert France
et à partager sans modération.